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                  Sorties du mardi 30 avril 2002 
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                Studio : " Un Kollek 
                dopé à l'espoir. Le réalisateur retrouve son égérie pour un film 
                étonnament apaisé. Kollek prouve une fois encore sa fascination 
                pour les femmes au destin brisé. Quand 
                un réalisateur aussi tourmenté et une actrice aussi singulière 
                se mettent à parler d'espoir le résultat final n'en est que plus 
                bouleversant. "  
                 
                 
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                Studio : " Un polar 
                classique et étrange avec un Thierry Lhermitte étonnant. Guillaume 
                Nicloux réussit un cocktail savamment dosé avec ce qu'il faut 
                de classicisme et d'étrangeté mêlés pour entraîner chez le spectateur 
                une adhésion jubilatoire. Ce film trouve 
                le ton juste entre hommage à la série noire et originalité. On 
                peut regretter une petite faiblesse dans le dénouement de l'intrigue 
                un peu trop simple. "  
                Première : " Ce film prend le contre-pied du film 
                de genre que Nicloux renouvelle ici. Le film est surtout servi 
                par un Lhermitte épatant et jamais vu. 
                Sa composition est si factuelle qu'elle se passe d'adjectifs. 
                Pour les références, même si le film est parsemé de quelques clins 
                d'oeil, on repassera : Nicloux vient d'en instaurer une nouvelle 
                ".  
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                Première : " C'est 
                 un mélo et il n'y a pas de 
                genre plus subjectif : soit vous vous tournez les pouces en ricanant, 
                soit vous êtes touchés "  
                Ciné-Live : " un ramassis de clichés lacrymaux et 
                de caricatures grand-guignolesques, briguant 
                assurément l'Oscar… du plus beau navet. "  
                Studio : " Une bluette transcendée 
                par Sean Penn émouvant. Ce film se situe dans la lignée 
                du " 8e jour " en plus guimauve. Si la cinéaste opte ici pour 
                une approche réaliste celle-ci reste largement teintée de rose. 
                A tel point que l'on peut s'étonner de l'implication de Sean Penn. 
                La meilleure idée du film, c'est d'avoir fait de Penn un fan des 
                Beatles dont une douzaine de titres accompagnent l'intrigue. " 
                 
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                Première : " Il y 
                a bien par-ci, par-là, quelques idées fortes, le problème 
                c'est qu'en laissant libre cours à ses 
                plus extrêmes obsessions, De Palma parvient surtout à étaler son 
                mauvais goût. Femme Fatale connaît des naïvetés, des 
                deséquilibres et des exagérations qui trahissent une perte de 
                rigueur peut etre due à la fatigue ". 
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