Sorties du mercredi 8 mai 2002

 

 


Le Parisien 08/05/02 : " Inspiré d'un roman signé Gene Brewer, ce film du réalisateur Anglais Iain Softley ('Backbeat') étonne et passionne jusqu'au bout, malgré quelques longueurs. Entre conte philosophique et suspense psychologique, ce drame rappelle un peu l'univers de 'Vol au dessus d'un nid de coucou' ".
Libération 08/05/02 : " K-pax parle d'origines, donc de finitude. C'est un navet fruité à la profondeur pas déplaisamment creuse. L'affiche est bien".


 
 









Le Parisien 08/05/02 : " Produit par Pedro Almodovar, le réalisateur Guillermo de Toro est une valeur sûre du septième art ibérique. On avait beaucoup aimé son "Chronos", on s'accroche à cette diabolique intrigue et à ses acteurs, à commencer par l'inquiétant Eduardo Noriega. Soutenu par une musique ad hoc, ce film est une réussite et s'inscrit, à sa façon, dans la lignée de "Panic room".
Libération 08/05/02 : " Le film balance entre ces deux fictions : celle des adultes, leur acharnement à préserver une utopie même en sachant la bataille perdue d'avance ; et celle des enfants, qui jouent à se faire peur parce qu'ils sont trop pauvres pour jouer à autre chose. Del Toro se situe résolument dans le genre fantastique, avec des effets spéciaux très beaux dans leur simplicité presque naïve, et sème quelques détails bunuéliens : la prothèse de Carmen l'unijambiste ou cette bombonne de vieux rhum où macère... un foetus."

 
 



Le Parisien 08/05/02 : " Tournée pour la télévision, cette 'Ultime révolte' est puissante, intense, prenante. Le cinéaste Jon Avnet a été révélé au grand public par 'Beignets de tomates vertes'. Le spectateur ne peut qu'être embarqué dans cette affaire de résistance et d'angoisse au quotidien. Un grand rôle pour Leelee Sobiesky, qui s'impose, peu à peu, comme une actrice majeure."
France Soir 08/05/02 : " Un casting impeccable ... Jon Avnet ne ménage personne : la délation, première dame du pays, les trahisons, première dauphine... l'intolérance clôt le bal ... Malgré quelques longueurs, Jon Avnet plonge le spectateur dans une aventure (in)humaine, hélas ! d'une tragique réalité."

 

Libération 08/05/02 : " Interrogé dans un commissariat du Middle West américain, un Français, joué par Jean-Jugues Anglade, tente d'expliquer pourquoi il en est arrivé là... il roulait tranquillement avec pour seul copain un violoncelle, quand, tout d'un coup... Une histoire bien improbable".


 
   

Libération 08/05/02 : " Hollywood, 1951. La chasse aux sorcières bat son plein. Un jeune scénariste d'avenir (Jim Carey) doit reconnaître ses activités "anti-américaines .., expier en donnant des noms.. on y revient en série B".