Sorties du mercredi 27 février 2002

 

   

Studio : "Ali est mis en scène avec punch par Michael Mann. Un rôle en or pour Will Smith qui lui vaut d'être un concurrent sérieux à l'Oscar du meilleur acteur."
Les cahiers du cinéma : "Ali est un film optimiste voire allègre et son rythme, son style sont ceux de l'enthousiasme. On n'y cherchera aucun gouffre existentiel, aucun abyme intérieur. Juste la puissance d'un géant qui parvient à triompher de ses démons."
Playboy : "Ali tiendrait plus d'une apologie de la culture afro-américaine par le biais du sport, de la contestation et de la musique soul (…) En résumé, Ali c'est un film sur un noir, fier de l'être, réalisé par un blanc qui aurait presque honte de l'être. "

 
   



Studio (02/02) : "Résultat : même si l'auteur de Z reste un cinéaste plus préoccupé par le fond que par la forme, son Amen, solidement mis en scène et excellemment interprété (Kassovitz en jésuite et surtout Tukur en nazi ambigu), est un film diablement puissant qui ne manquera pas de déclencher son lot de polémiques. Preuve que ce dont il cause continue de déranger."
France Soir (27/02/02) : "Oui, il faut aller voir Amen. Pour comprendre pourquoi le Vatican n'a jamais élevé de condamnations officielles à l'extermination des Juifs et autres minorités ... Pour voir, aussi, un grand film de cinéma ... Les acteurs sont tous d'une justesse folle, dans ce film où rien n'est excessif."

 
   

Première : "Pour l'interprétation de Vahina Giocante, lumineuse. Pour la dénonciation de la perversité du viol, le seul crime qui laisse ses victimes encore en vie. " " Un parti pris discutable que le jeu instinctif de Vahina Giocante (belle) et l'interprétation bien sentie de François Berléand sauvent de justesse du mélo caricatural."
Le Parisien (27/02/02) : "Sandrine Ray signe un premier long-métrage sensible et bouleversant. Original, aussi, dans la mesure où elle a choisi de montrer comment son héroïne remonte la pente après cette descente aux enfers. La belle Vahina Giocante se révèle impressionnante dans le rôle principal ..."

 
   

Le Monde (27/02/02) : "On ne sait ce qu'il y a de plus affligeant dans ce spectacle : le renoncement de Kevin Spacey à toute ambiguïté, au profit d'effets d'une grande grossièreté, le gâchis de talents aussi remarquables que ceux de Mmes Dench, Blanchett et Moore, ou l'utilisation purement décorative des paysages. "