|   | 
               | 
               
                
               | 
               
                   
                  Sorties du mercredi 20 février 2002  
               | 
                | 
             
           
          
         
        
           
            |   | 
              | 
             
                
               
               
                | 
             
                Studio : "Si le film 
                manque d'originalité, c'est avant tout à cause de son intrigue, 
                un suspense vite éventé autour des 
                suspects. En revanche, la façon dont le réalisateur dépeint ce 
                commissariat est une vraie réussite. Bien documenté, Gangsters 
                se rapproche alors de L627 et met en évidence le jeu des seconds 
                rôles. Un 1er long métrage dont la mise 
                en scène est très maîtrisée, riche de promesses.  
                Première : "A partir de ce scénar coup de boule, 
                Olivier Marchal dégaine un 1er long musclé 
                dont l'excès de forme tue le fond (intrigue fluette, 
                dénouement pas crédible). "Police et cinéma se ressemble" jure 
                Marchal. Il aurait dû donc savoir qu'à l'instar des procès-verbaux, 
                certains scénars nécessitent relecture avant signature.  
             | 
              | 
           
           
            |   | 
              | 
              
               
               
                | 
             
               New York Times : "Le 
                film appelle des commentaires comme "adulte, sexy, provocateur" 
                qui n'ont pas été prononcés à propos d'un film hollywoodiens depuis 
                American Beauty."  
                USA Today : "Le couronnement de la carrière de Kevin 
                Kline."  
                Première : "Le film est 
                aussi sensible qu'un clip de Guns & roses, et s'il 
                parvient à susciter de l'émotion dans sa dernière partie, c'est 
                par un artifice purement mécanique. Perdre un proche est douloureux, 
                le filmer de manière si peu inspirée est franchement gênant." 
                 
                 
                 
                 
             | 
              | 
           
           
            |   | 
              | 
              
               
               
               
               
               
               
               
               
               | 
             
               Playboy : "Le 
                film envoûte presque malgré lui. Sans émotions excessives, 
                malgré les boys qui meurent les boyaux dans les rangers, sans 
                humour non plus, il affiche une vision désabusée de la guerre 
                qui change abruptement des "schwarzeneggeries" en tous genres." 
                 
                Studio : "D'abord Ridley Scott fait preuve d'une 
                flagrante maestria pour le film de guerre. Qui sait 
                d'ailleurs si le cinéaste ne l'a pas fait pour se confronter à 
                l'exercice de style ? Il en ressort vainqueur. Sa mise en scène, 
                ou plutôt son orchestration sonne au plus juste." "La chute du 
                faucon noir apparaît comme les images d'une guerre que nous ne 
                voyons jamais. Celle qui se déroule en Afghanistan, par exemple. 
                Et rien que pour ça, ce film vaut la peine d'être vu."  
                Première : "Au lieu de renforcer le réalisme, la 
                 débauche d'artifices contribue 
                à détourner l'attention de la dimension historique du film, au 
                risque de le réduire à un jeu vidéo où l'ennemi n'a pas de visage 
                et le décompte des morts plus aucune importance."  
                
             | 
              | 
           
           
            |   | 
              | 
              
               
               
               
               
               
               
               
               
               
                
               
               | 
             
               Studio : "Jean-François 
                Stévenin a décidément une façon bien à lui de faire du cinéma. 
                Avec Mischka, l'acteur-cinéaste signe un inclassable 
                road-movie hexagonal, entre chronique et rêverie." 
                "Comme peu de cinéastes, Maurice Pialat, John Cassavetes et quelques 
                autres, Stévenin prend le risque de l'imperfection cinématographique 
                pour saisir une vérité singulière. On ne peut que lui donner raison. 
                 
                Première : "Un vrai beau 
                film barré (ou parti, échappé…), poème réjouissant 
                à force de ne pas rimer, et, par conséquent, sans cesse surprenant." 
                Christophe Carrière." Le script pouvait laisser craindre 
                un défilé de clichés sur les marginaux qui ont bon fond. Stévenin 
                ne mange pas de ce pain rassis-là. Si Mischka souffre parfois 
                d'être un rien bordélique, 
                il contient tant de moments incroyables 
                qu'on le lui pardonne sans souci. Comme nombre de cinéastes français, 
                Stévenin voue un culte à Cassavetes. Mais chez lui, aucune pose. 
                Chez lui, pour de vrai, la vie palpite sur pellicule. Et si ce 
                n'est pas rare, on veut bien savoir ce que c'est." Olivier 
                de Bruyn.  
                Les Cahiers du cinéma : "Le film de Stévenin est 
                un délire incantatoire doublé d'une berceuse relaxante, un précipité 
                de cinéma rural, une hallucination foraine, un voyage abracadabrantesque 
                dans des terres que personne, en France, ne parcourt avec un tel 
                aplomb." "Stévenin est tout sauf un aimable prestidigitateur. 
                C'est un voyant exceptionnel, doté d'un œil et d'une oreille d'une 
                extrême vivacité, capable de s'attaquer à tous les styles, toutes 
                les formes qui concernent le cinéma avec une acuité égale. Quand, 
                en plus, il rassemble les éléments de sa cosmologie personnelle 
                avec autant d'humour et de goût pour la fantaisie, on dit bravo, 
                monsieur Stévenin, et revenez quand vous voulez."  
             | 
              | 
           
          
            |   | 
              | 
              | 
            
              
             | 
              | 
           
         
        
       |