Sorties du mercredi 20 mars 2002

 

 


Studio : " Le regard de Manuel Poirier sur ses personnages, plein de tendresse et d'humanité et sa peinture tout en légéreté des rapports humains empêchent son film de n'être qu'une énième réflexion pessimiste et ennuyeuse sur la crise de la quarantaine. C'est un film de bande joyeux où l'on prend plaisir à retrouver la famille Poirier ".
Première : " Poirier observe les dérèglements sentimentaux de ses personnages avec un oeil tendre mais jamais mièvre. Les comédiens sont tous convaincants dans des rôles de gens qui se castagnent avec les contingences de l'âge et du quotidien qui déraille. "

 
 

Studio Magazine : " On appréciera, une fois encore, l'humanité, la tendresse, la chaleur et la force du témoignage du réalisateur sur une culture en voie de disparition. En revanche, on regrettera une écriture scénaristique lâche et naïve, trop en deçà du propos initial. "
Première : " Moins intense que Vengo, moins remuant que Gadjo Dilo, Swing est sans doute le film de trop dans la veine folklorique chère à Gatlif. "

 
 



Studio : " Comme les précédents films du studio, c'est un éblouissant mélange de prouesses technologiques et artistisques. Il y a un scénario poilant, truffé d'idées incroyables. La force des doux dingues de Pixar c'est qu'ils pensent autant à combler les enfants qu'à régaler leurs parents ".
Première : " Monstres & Cie met en oeuvre davantage de créativité et offre plus de plaisir au spectateur que 95% des films que vous pourrez voir cette année et devrait légitimement obtenir un succès monstre. Seule réserve : l'histoire s'essouffle un peu au milieu avant de repartir de plus belle pour la poursuite finale ; des personnages secondaires moins réussis que dans les films précédents, ou des clins d'oeil au public des adultes, moins tranchants "


   



Studio Magazine :" Malheureusement, le film perd de son intensité après le meurtre de l'un des convives. Il change soudain de registre pour devenir une enquête policière inutile et peu convaincante. (…) On oubliera donc cette fin manquée pour ne retenir que la virtuosité de la mise en scène et l'interprétation irréprochable. "
Cinétélérevue:" Du cinéma qui rend heureux, qui réconcilie chacun avec la notion même de création et de talent. Chapeau M.Altman ! "
Première : "Si l'ombre de La règle du jeu (Renoir 1939) plane sans ostentation sur le film, Gosford Park ne ressemble au final à rien de connu. Juste un film où le plaisir de suivre une intrigue retorse s'accompagne du bonheur de contempler une mise en scène inventive. En tout état de cause, un des sommets de la carrière de Robert Altman. Donc un événement."