Sorties du mercredi 13 mars 2002

 

 









Rolling Stone " Une comédie grinçante et saine sur les blessures de famille, qui confirme Wes Anderson comme un talent à part entière (…) Anderson et Owen Wilson ont déjà écrit deux scénarios cultes (Rushmore et Bottle Rocket). Le culte devrait s'élargir de manière exponentielle avec La Famille Tenenbaum. "
Studio : " Quel choc ! Quelle claque ! Quel bonheur de découvrir un réalisateur comme Wes Anderson ! Un véritable petit génie dont l'inventivité et la richesse de l'univers laisse pantois. (…) On en ressort secoué par le rire et l'émotion, et ravi d'adopter Wes Anderson dans la famille des grands cinéastes. "
Ciné Live : " L'inexistante dramaturgie et l'absence d'enjeu engendrent une inéluctable sensation de monotonie. L'ennui gagne donc le spectateur, toutefois conscient d'être face à une œuvre qui, au moins, porte l'empreinte d'un auteur en devenir. " " Simple collage de saynètes, cette satire familiale et grinçante pêche par son caractère répétitif, mais atteste le talent de Wes Anderson pour créer un univers décalé. "


 
 






Studio : "Même si certains effets manquent de légèreté (la bande originale en particulier), même si les victimes multiplient forcément les maladresses au moment où il ne faut pas, ce film réussit, peu à peu, à nous captiver totalement par sa mise en scène ample et l'art de son réalisateur de ménager le suspense jusqu'au bout quant à l'identité du criminel."
Ciné Live : "La technique alternant vue subjective et témoignage objectif, époustouflante. Toute la virtuosité d'Argento résumée en 20 minutes de pure terreur et de sensualité mortifère. Dommage que le cinéaste peine ensuite à recharger ses batteries."
Première : " Le film s'apparente plutôt à un vilain remake de Derrick en Italie. Un polar gériatrique et ultraviolent où la virtuosité du réalisateur se fait intermittente. Les scènes de meurtres sont éblouissantes, mais le reste suscite plus souvent l'hilarité que la terreur. Rire ou frémir… "


 







New Look : " Voilà un grand film modeste, épique et naturaliste, amoureux de son temps et son lieu, une Lozère d'or et de jade magnifiée par un splendide cinémascope et des cadrages beaux à pleurer. Du western, on vous dit ! "
Ciné Live : " Un film difficile qui nécessiterait d'oublier tout ce qu'on a pu voir de spectaculaire sur le Moyen Age pour gagner un peu de crédit. Les longs silences et une mise en scène sans nerf ne trouvent leur accomplissement que dans une sobriété dépourvue de second degré. Epoque austère égale réalisation austère, et c'est alors l'ennui qui pointe son nez. Et s'installe durablement ".
Studio Magazine : " Le cinéaste urbain qu'était jusque là Jolivet réussit largement son pari. Le frère du guerrier est un film beau, âpre, fort et dense. Les comédiens sont à la hauteur des ambitions du réalisateur ".
Première : " La mise en scène, classique mais inspirée, tire un excellent parti des décors naturels et le film est toujours crédible dans sa représentation des temps anciens. Le film tourne essentiellement autour de quelques concepts.

 
   

Première : "L'histoire de Zishe est presque moins intéressante que celle de l'illusionniste qu'il rencontre. C'est le défaut majeur de ce film dans lequel Herzog recycle ses recettes avec un bonheur inégal. Trop souvent, les faiblesses détournent l'attention comme ces acteurs polonais dont le jeu est appauvri par la nécessité de parler anglais."